… Les Boules du Kong, le Regard d’un Roi, la Pause pour la
galerie… Entre Crânerie et indifférence, une certaine idée de la liberté coulée dans le bronze… Sculpter et laisser dire…

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… Ceux qui ne verront que ses attributs n’auront rien vu, rien
compris… Un grand déballage pour turlupiner les bien-pensants…
tromper les imbéciles… Un sourire que l’on devine…

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… Le leurre grossier d’un Singe impudent… La provoc du Kong pour faire jaser les « cheeta » des salons, pour coller des complexes à tous les bonobos de la masturbation… Ses boules à la face du monde, comme des noix de coco balancées aux visages du conformisme…

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… La résistance tranquille d’un Singe indompté… Son regard est
ailleurs… Loin de la ménagerie humaine, de ce monde étriqué… Loin de ce théâtre sans douceur, de cette comédie sans tendresse…

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… Le Kong fait un rêve… Un paradis perdu… Sans cage et sans
maitre… La liberté au pied de son arbre… Un rire que l’on n’entend
pas… Ses boules comme des gongs pour sonner le grand réveil…